PAINDE MÉNAGE (Le) de Jules Renard (rĂ©sumĂ©) renard morlange. Obtenir ce document. Le document : "Le renard de Morlange" compte 802 mots. Pour le tĂ©lĂ©charger en entier, envoyez-nous l’un de vos travaux scolaires grĂące Ă  notre systĂšme gratuit d’échange de ressources numĂ©riques ou achetez-le pour la somme symbolique d’un euro.
Nicolas Saulais, professeur de français, nous raconte l'histoire du livre Le renard de Morlange » d'Alain quoi parle Le renard de Morlange ?Le comte de Morlange est si cruel qu'une malĂ©diction le destine Ă  se transformer en jeune renard les nuits de pleine lune. Violences, humiliations rien n'arrĂȘte le cruel comte de Morlange. Jusqu'au jour oĂč un curieux vieillard lui prĂ©dit que, s'il ne change pas sa conduite, il sera transformĂ© en jeune renard les nuits de pleine lune...Qui est l'Ă©crivain Alain Surget ?Professeur d'histoire Ă  Uckange depuis 1976, retraitĂ© Ă  prĂ©sent, il est mariĂ© et pĂšre de trois enfants. Il se sent pris par le virus de l’écriture dĂšs l’ñge de 14 ans. Il compose d’abord des poĂ©sies, des nouvelles, des piĂšces de théùtre qui lui apportent divers prix. En 1973, il se tourne vers le roman divers grands prix obtenus pour ses manuscrits l’encouragent Ă  persĂ©vĂ©rer dans cette voie. Le Renard de Morlange a Ă©tĂ© publiĂ© en 1995.â–ș Si tu aimes les romans, dĂ©couvre cette vidĂ©o du Baron PerchĂ© » d'Italo Anthony ForestierProducteur france tv studio / Media TVAnnĂ©e de copyright 2020AnnĂ©e de production 2020AnnĂ©e de diffusion 2020PubliĂ© le 25/06/20ModifiĂ© le 20/12/21Ce contenu est proposĂ© par
p> Le comte de Morlange est si cruel qu'une malĂ©diction le destine Ă  se transformer en jeune renard les nuits de pleine lune Violences, humiliations : rien n'arrĂȘte le cruel comte de Morlange. Jusqu'au jour oĂč un curieux vieillard lui prĂ©dit que, s'il ne change pas sa conduite, il sera transformĂ© en jeune renard les nuits de pleine lune DĂšs 10 ans

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chapitre3 le renard de morlange réponse à 2 questions que signifie l'autre renard au seigneur de morlange (que lui dit-il) ? quelle explication le seigneur va-t-il donner pour expliquer qu'il a disparu pendant une nuit ?. Pergunta de ideia declotiti - Français. Articles Register ; Sign In ; Search . clotiti @clotiti. January 2021 1 59 Report. chapitre 3 le renard de morlange réponse
Violences, humiliations rien n'arrĂȘte le cruel comte de Morlange. Rien ? Jusqu'au jour oĂč un vieil ermite lui prĂ©dit que, s'il ne change pas sa conduite,... Lire la suite 5,50 € Neuf Poche En stock 5,50 € Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 4,49 € Grand format En stock 11,90 € En stock en ligne LivrĂ© chez vous Ă  partir du 30 aoĂ»t Violences, humiliations rien n'arrĂȘte le cruel comte de Morlange. Rien ? Jusqu'au jour oĂč un vieil ermite lui prĂ©dit que, s'il ne change pas sa conduite, il sera transformĂ© en jeune renard les nuits de pleine lune... tout en conservant son esprit humain, et ainsi jusqu'Ă  ce qu'il ait fait pĂ©nitence ! Si Renaud de Morlange est un fin chasseur, renard a, lui, bien des choses Ă  apprendre pour affronter les dangers de la forĂȘt... Date de parution 07/04/2005 Editeur Collection ISBN 2-09-250669-2 EAN 9782092506691 Format Poche PrĂ©sentation BrochĂ© Nb. de pages 125 pages Poids Kg Dimensions 12,0 cm × 18,0 cm × 1,0 cm Lemonde de Narnia, chapitre 3 : l'odyssĂ©e du Passeur d'aurore : Les jeunes Lucy et Edmund Pevensie vivent en Angleterre, chez leur agaçant cousin Eustache. HappĂ©s avec ce dernier par un
Le renard de Morlange - E-book - Epub fixed layout Le Comte de Morlange est si cruel qu'une malĂ©diction le destine Ă  se transformer en jeune renard les nuits de pleine lune. Violences, humiliations... Lire la suite 8,99 € E-book - Epub fixed layout Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 8,99 € Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat DĂšs validation de votre commande Offrir maintenant Ou planifier dans votre panier Le Comte de Morlange est si cruel qu'une malĂ©diction le destine Ă  se transformer en jeune renard les nuits de pleine lune. Violences, humiliations rien n'arrĂȘte le cruel Comte de Morlange. Jusqu'au jour oĂč un curieux vieillard lui prĂ©dit que, s'il ne change pas sa conduite, il sera transformĂ© en jeune renard les nuits de pleine lune... Date de parution 03/09/2020 Editeur Collection ISBN 978-2-8222-3289-0 EAN 9782822232890 Format Epub fixed layout Nb. de pages 57 pages CaractĂ©ristiques du format Epub fixed layout Pages 57 Taille 46 746 Ko Protection num. Digital Watermarking
Rienn'arrĂȘte le comte de Morlange, qui se montre cruel envers son peuple et les siens. Jusqu'au jour oĂč un vieil ermite lui prĂ©dit que, s'il ne change pas sa conduite, il sera transformĂ© en renard les nuits de pleine lune, jusqu'Ă  ce qu'il ait fait pĂ©nitence ! Si Renaud de Morlange est un fin chasseur, Renard, lui, a bien des choses Ă  apprendre pour affronter les dangers de la forĂȘt miss terious a Ă©critTĂ©lĂ©chargĂ© sans souci et lu sans souci itou. La mise en page est bonne et je n'ai pas notĂ© d'erreurs. En revanche, comme le disait V., ce n'est pas adaptĂ© Ă  des 5e, en tout cas pas la virĂ©e chez les prostituĂ©es. Merci beaucoup... En fait, j'ai achetĂ© plusieurs ouvrages dont Le loup-garou et autres nouvelles de Vian et l'anthologie sur le loup-garou Les morsures du loup-garou, par Alain 4En passant, une idĂ©e que vous avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  eu comme cursive le Renard de Morlange un seigneur transformĂ© en renard par une malĂ©diction. Pour de petits lecteurs, teriousDoyen Re [5e] le conte merveilleux - Bisclavret par miss terious 6th Septembre 2016, 1705Ça y est commencĂ© ! Ce matin, avec une de mes 5e, j'ai donc entamĂ© mon chapitre sur Bisclavret. Voici ce qu'on a leur ai demandĂ© d'Ă©couter les 4 premiĂšres minutes du lai racontĂ© en AF merci encore tannat pour le lien sans rien faire d'autre qu' 2e Ă©coute, cette fois avec stylo et feuille Ă  eux de noter tout ce qu'ils comprenaient. Puis, travail de groupes ma salle est en Ăźlots ils ont mis en commun ce qu'ils avaient compris pendant une 10aine de minutes. Je passais dans les rangs pour les guider dans les questions Ă  se poser quand ? qui ? etc.3e Ă©coute, cette fois avec le texte en AF sous les demain ils doivent mettre au brouillon tout ce qu'ils ont dĂ©sormais donc, demain, ap. un deuxiĂšme temps de mise en commun par groupe, puis de mise en commun classe, on lira la traduction en français moderne d'ailleurs vous dites quoi, vous ? "traduction" ? "translation" ?, parce que ça reste du français.À noter que je n'ai donnĂ© aucun indice sur l'histoire quand j'ai prĂ©sentĂ© le chapitre. Mais dans la version audio, on entend des cris de loups ; on reconnaĂźt bien les mots "Bretagne", "chevalier", "dame", "forĂȘt", "bĂȘte sauvage", etc. La suite au prochain numĂ©ro !_________________"Ni ange, ni dĂ©mon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumĂ© Ă  les regarder comme telles." DUCLOSJudithNiveau 1J'adore l'idĂ©e ! Je dis gĂ©nĂ©ralement "traduction" et je parle de "modernisation" Ă  partir du XVIe. turbuletteNiveau 4CommencĂ© Ă©galement, sans passer pour la version audio, que je compte rĂ©server pour la fin. A la premiĂšre sĂ©ance on a travaillĂ© sur le dĂ©but du texte en ancien français et ils ont adorĂ© retrouvĂ© les mots "transparents". On a passĂ© plus de temps sur "beste", pour montrer l'Ă©volution en partant du latin, puis ils ont repĂ©rĂ© celui qui revenait le plus "garulf" Suspens et hypothĂšses... En passant par l'anglais Werewolf ils ont trouvĂ©. Ma surprise a moi a Ă©tĂ© de constater que ils n'ont pas DU TOUT une idĂ©e claire de ce qu'est un loup-garou! "c'est un monstre!" "nan un loup!" "naaan c'est un loup debout!" Je croyais que Twillight m'aurait mĂąchĂ© le boulot... Aujourd'hui, lecture des premiĂšres pages, ça plait, une bonne bien exploiter l'aspect "lĂ©gende terrifiante" en rĂ©daction mais j'ai peur de marcher sur les plates-bandes du programme de 4e...baboutcheNiveau 1j'aime beaucoup vos idĂ©es, alors oĂč en ĂȘtes-vous ? Cela plait-il aux Ă©lĂšves ? PetraPortoNiveau 10 Re [5e] le conte merveilleux - Bisclavret par PetraPorto 28th Septembre 2016, 1805Bonjour Ă  tous,Peut on considĂ©rer le lai de bisclavret comme un conte ? J'hĂ©site Ă  le fairemiss teriousDoyen Re [5e] le conte merveilleux - Bisclavret par miss terious 28th Septembre 2016, 1945 drop-of-cloud a Ă©critBonjour Ă  tous,Peut on considĂ©rer le lai de bisclavret comme un conte ? J'hĂ©site Ă  le faire Je m'autocite pour te rĂ©pondre message en page 1 de ce topic... MissT a Ă©critJe suis en train de lire Les Lais de Marie de France dans la coll. Lettres gothiques et la prĂ©face renforce ma conviction. Laurence HARF-LANCNER y indique que les lais sont une mise en poĂšme de contes traditionnels oraux permettant d'en garder trace, pur remembrance ». Je vais donc bel et bien travailler Bisclavret et donnerai 2 ou 3 autres Ă  lire, encore Ă  dĂ©terminer peut-ĂȘtre Lanval et Yonec.Je vais aussi chercher l'aventure de Sidi Numan dans Les Mille et une nuit, conte oriental en lien avec Bisclavret une sorciĂšre se dĂ©barrasse de son mari en le transformant en chien - en loup dans certaines versions. _________________"Ni ange, ni dĂ©mon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumĂ© Ă  les regarder comme telles." DUCLOSvigaNeoprof expĂ©rimentĂ©Ce sera sans doute mon deuxiĂšme chapitre... Je suis "preneuse" de conseils et d'idĂ©es de la part de celles et ceux? qui ont menĂ© cette Ă©tude Ă  son terme. Merci!blancheÉruditMoi aussi! IsiaSagemoi aussi ! AlbiusNiveau 10 tannat a Ă©critLe GĂąloup, de Claude Seignolle ne semble plus Ă©ditĂ©...Quelqu'un en aurait-il un extrait ou un texte complet, s'il vous plaĂźt ? Le Galoup se trouve Ă©galement dans cette réédition plus rĂ©cente de l'intĂ©grale des rĂ©cits de Seignolle, mais je ne sais plus si c'est dans le tome I ou II le thĂšme du loup-garou, il y a Ă©videmment le passage cĂ©lĂšbre du Satyricon de aussi la petite anthologie de Barbara Sadoul chez Librio, Gare au garou , qui contient entre autres, de mĂ©moire, l'extrait de littĂ©rature, comme toute forme d'art, est l'aveu que la vie ne suffit pas. F. PessoatannatHabituĂ© du forumC'est gentil, j'ai rassemblĂ© mon corpus, mais je vais regarder ces liens, merci !_________________ Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » Samuel Beckett C'est un malheur que les hommes ne puissent d'ordinaire possĂ©der aucun talent sans avoir quelque envie d'abaisser les autres.» Vauvenarguesmiss teriousDoyenJe viens de finaliser le sujet de rĂ©dac' que je vais proposer Ă  mes Ă©lĂšves lundi. Je la fin du lai, le roi interroge Bisclavret ; il veut tout savoir de son secret. Alors le chevalier lui raconte son histoire. À vous de la respecterez le plan suivant 1. dans un premier paragraphe, rapportez le dialogue entre le roi et Bisclavret qui conduit le chevalier Ă  raconter son histoire2. dans un deuxiĂšme paragraphe, indiquez comment il quitte le chĂąteau et gagne la chapelle oĂč il cache ses vĂȘtements3. dans un troisiĂšme paragraphe, racontez la mĂ©tamorphose en loup4. dans un quatriĂšme paragraphe, narrez la vie sauvage qu’il mĂšne dans la forĂȘt5. dans un dernier paragraphe, expliquez comment il recouvre sa forme humaine et Ă©voquez le retour Ă  la rĂ©digerez votre histoire Ă  l’aide du systĂšme du rĂ©cit dont les temps dominants sont les passĂ© simple et imparfait. Le premier paragraphe aura Marie de France comme narrateur ; ensuite ce sera le chevalier Bisclavret qui racontera et vous utiliserez donc la premiĂšre personne. Vous penserez Ă  prĂ©ciser les sensations et Ă©motions du texte fera au moins une page et demie. Il sera tenu compte de la maĂźtrise de la langue dans l’ des quelques informations donnĂ©es par Bisclavret lui-mĂȘme l. 23 Ă  39.Vous pouvez Ă©galement utiliser les Ă©lĂ©ments donnĂ©s dans le lai de MĂ©lion, dans l’histoire de Lycaon Ovide, Les MĂ©tamorphoses ou encore dans les textes de PĂ©trone Le Satyricon et de Gervais de Tilbury Le Livre des merveilles.Pensez aussi Ă  recourir Ă  vos connaissances personnelles sur les loups-garous livres, films
.Je suis preneuse de vos avis. Merci !_________________"Ni ange, ni dĂ©mon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumĂ© Ă  les regarder comme telles." DUCLOSbaboutcheNiveau 1J'aime bien l'idĂ©e miss terious aprĂšs est-ce que c'est pas un peu complexe avec les changements narrateur puis le chevalier ainsi que les exigences liĂ©es Ă  la mise en place du dialogue. AprĂšs cela dĂ©pend du niveau de ta classe, moi je pense qu'avec une classe comme la mienne il y aurait trop de choses Ă  maĂźtriser en mĂȘme du forumJ'aime beaucoup ce sujet mais pour mes classes aussi, il serait trop complexe en dĂ©but d'annĂ©e. Pour ma part, je me suis contentĂ©e de leur demander de raconter la transformation de MĂ©lion. RĂ©cit fait par sa femme Ă  son pĂšre. Comme nous avions travaillĂ© en classe la transformation de Bisclavret, il s'en sont inspirĂ©. MalgrĂ© tout certains ont eu beaucoup de terious, combien de temps auront-ils pour faire ce travail ?NadejdaGrand sageJe suis plutĂŽt d'accord sur la difficultĂ© Ă  mĂȘler, dans ce sujet, plusieurs types de texte et plusieurs temporalitĂ©s. Ne risquent-ils pas aussi de faire un simple rĂ©sumĂ© du lai ?J'ai prĂ©fĂ©rĂ© donner aux miens plusieurs petits sujets d'Ă©criture dĂ©but d'annĂ©e et classes trĂšs faibles - imaginer que l'Ă©pouse cherche Ă  dĂ©couvrir d'elle-mĂȘme le secret du baron Comment s'y prend-elle ? Quelles prĂ©cautions prend-elle ? moment de la journĂ©e, instructions laissĂ©es Ă  ses serviteurs adjuvants, possible dĂ©guisement... Une fois qu'elle a dĂ©couvert son secret, comment rĂ©agit-elle ?- description de la mĂ©tamorphose aprĂšs une sĂ©rie d'exercices de vocabulaire autour des verbes de transformation ; les Ă©lĂšves devaient d'abord au brouillon lister tout ce qui de l'homme Ă  "l'animal" changerait partie du corps de l'homme -> de l'animal -> verbe de transformation Ă  utiliser + dĂ©tails supplĂ©mentaires- le discours qu'elle pourrait finalement tenir Ă  son mari pour justifier sa trahison elle peut formuler des regrets ou bien des reproches- des exercices d'imitation sur les maniĂšres d'exagĂ©rer un phĂ©nomĂšne, merveilleux ou non dans la traduction de F. Morvan on trouve plusieurs formules en "tant", "tellement... que", "si... que" etc.- autour du vocabulaire de la chasse, assez peu connu des Ă©lĂšves et prĂ©sent dans une scĂšne du lai, chercher d'autres mots du mĂȘme domaine et les rĂ©utiliser dans un petit texte de leur invention- rĂ©diger des rĂ©ponses plus argumentĂ©es, Ă©tayĂ©es par le texte, sur le sens du lai un chĂątiment mĂ©ritĂ© ? trop sĂ©vĂšre ? l'Ă©pouse est-elle vraiment coupable ? pourquoi cette insistance sur le nez ? l'Ă©volution des personnages entre un dĂ©but presque idyllique et un dĂ©litement assez subtil de la relation conjugaleCe sont des exercices plutĂŽt courts mais mon but est qu'ils Ă©crivent trĂšs rĂ©guliĂšrement. Finalement, mĂȘme si le lai n'est pas trĂšs long, je n'ai pas encore fini mon chapitre j'ajouterai le visionnage du lai animĂ© par E. Mercier et la lecture de l'histoire de Sidi Nouman. Entre le vocabulaire, les explications, l'Ă©criture et la langue... lisontineHabituĂ© du forumMoi non plus je n'ai pas tout Ă  fait terminĂ© il me reste un travail d'oral pour les amener Ă  lire correctement le texte versifiĂ© et une Ă©valuation de la lecture personnelle du Renard de Morlange. Mais une chose est sĂ»re, ce chapitre leur a plu. Ensuite j'enchaĂźne sur un EPI, et lĂ  je suis moins emballĂ©e ... Tem-toGrand sageJe compte leur faire apprendre Ă  chacun entre 6 et 12 vers. Et ainsi toute la classe participe Ă  l'oralisation du lai. Mais je veux une narration orale beaucoup plus expressive que celle sur laquelle nous travaillerons qui repose sur le trĂšs beau court-mĂ©trage d'Emilie Mercier. Si j'avais le temps je chercherai un fond musical, une petite mise en scĂšne...miss teriousDoyenJe vous dirais ce que ça donne, le sujet. Je rĂ©cupĂšre les copies mardi ange, ni dĂ©mon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumĂ© Ă  les regarder comme telles." DUCLOSturbuletteNiveau 4Bon alors niveau rĂ©daction, j'ai donnĂ© en premier le rĂ©cit de la mĂ©tamorphose de Bisclavret en loup-garou ils avaient Ă©tudiĂ© les MĂ©tamorphoses, ça nous a fait une transition en douceur, ils Ă©taient assez Ă  l' la deuxiĂšme qui sera faite en classe, j'ai une idĂ©e mais je ne sais pas trop ce que ça vaut - leur demander de venir avec une image d'une crĂ©ature merveilleuse phĂ©nix, licorne, dragon- le sujet serait quelque chose comme "vous vous retrouvez nez Ă  nez avec une crĂ©ature merveilleuse. DĂ©crivez-la et exprimez les sentiments qu'elle vous inspire en utilisant des types de phrases variĂ©s" on a revu la phrase, et on a dĂ©fini le merveilleux et Ă©tudiĂ© le passage oĂč le roi s'extasie devant le en pensez quoi? Et ceux qui font l'oeuvre, une autre idĂ©e Ă  proposer?miss teriousDoyenturbulette, je trouve ton idĂ©e intĂ©ressante mais pense Ă  prĂ©voir toi-mĂȘme des images pour ceux qui n'auraient rien trouvĂ© ou rien cherchĂ©._________________"Ni ange, ni dĂ©mon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumĂ© Ă  les regarder comme telles." DUCLOSPetraPortoNiveau 10Bonsoir Ă  tousJe compte donner bisclavret mais j'aurai Ă©galement aimĂ© y rajouter un conte avec une autre mĂ©tamorphose le loup ou autre...auriez vous une idĂ©e ?tannatHabituĂ© du forum‱ Lycaon, Ovide, Les MĂ©tamorphoses.‱ Le Bisclavret, Lais de Marie de France. ‱ Sidi Numan, Les Mille et une nuit, anonyme. La Belle et la BĂȘte, Jeanne-Marie Leprince de Beaumont, Magasin des enfants. ‱ Le loup-Garou, Boris Vian.‱ Le Galoup, Claude Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » Samuel Beckett C'est un malheur que les hommes ne puissent d'ordinaire possĂ©der aucun talent sans avoir quelque envie d'abaisser les autres.» Vauvenarguesmiss teriousDoyenIl existe un autre lai dans lequel un homme se transforme en oiseau pour rejoindre la femme qu'il aime, maintenue prisonniĂšre par son Ă©poux. Est-ce Guingamor ? Je ne sais plus trop. Mais c'est une ange, ni dĂ©mon, juste sans nom." Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom "Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumĂ© Ă  les regarder comme telles." DUCLOStannatHabituĂ© du forumNe serait-ce pas plutĂŽt le lai du Yonec ou celui de Laustic ? _________________ Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » Samuel Beckett C'est un malheur que les hommes ne puissent d'ordinaire possĂ©der aucun talent sans avoir quelque envie d'abaisser les autres.» VauvenarguesSujets similaires[rĂ©solu] Le conte et le conte merveilleux... dĂ©finition?fiche voca conte merveilleuxConte merveilleux en cinquiĂšme des idĂ©es ? un conte merveilleux avec un Ăąne qui parle?[6Ăšme] Conte merveilleux versPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum

ï»ż1 Observe attentivement les photos des Ɠuvres de Miro 2 - PrĂ©pare une feuille identique au modĂšle avec une rĂšgle et un crayon Ă  papier. 3 - Dans chaque case, dessine au feutre

Le renard de Morlange Chapitre 1 Nom 
....................................... Date ................................... PrĂ©nom ....................................... Codage P ce n'est pas une phrase S manque de sens, mal dit O orthographe lexicale → dictionnaire X rĂ©ponse fausse A accord C conjugaison H orthographe grammaticale → homonymes 1 A quel siĂšcle se dĂ©roule le dĂ©but de l'histoire 
................................................................................................................ 2 Quel est le vrai nom du comte de Morlange ? 
................................................................................................................ 3 Qu'est-ce qu'un fief ? 
................................................................................................................ 4 Pourquoi le comte de Morlange n'aime-t-il pas le seigneur de Florange ? 
................................................................................................................ 5 Que fait la troupe pour rattraper les chiens ? 
................................................................................................................ 6 Que fait un des vassaux du comte pour s'amuser ? 
................................................................................................................ 7 Retrouve la phrase et termine la le maĂźtre saccage les rĂ©coltes plus sĂ»rement... 
................................................................................................................ 8 Comment se nomme la mise Ă  mort de la bĂȘte dans la chasse Ă  courre ? 
................................................................................................................ 9 Pourquoi le comte de Morlange n'utilise-il pas son Ă©pieu ? 
................................................................................................................ 10 Pourquoi les paysans mĂȘlent-ils leur acclamations aux cris de joie de la troupe ? 
................................................................................................................ ?Page 2 ComplĂšte avec les mots proposĂ©s p Lerenard de Morlange Javascript est dĂ©sactivĂ© dans votre navigateur. Javascript doit ĂȘtre activĂ© dans votre navigateur pour utiliser toutes les fonctionnalitĂ©s de ce site.

Rien n'arrĂȘte le comte de Morlange, qui se montre cruel envers son peuple et les siens. Jusqu'au jour oĂč un vieil ermite lui prĂ©dit que, s'il ne change pas sa conduite, il sera transformĂ© en renard les nuits de pleine lune, jusqu'Ă  ce qu'il ait fait pĂ©nitence ! Si Renaud de Morlange est un fin chasseur, Renard, lui, a bien des choses Ă  apprendre pour affronter les dangers de la forĂȘt... Mathieu Moreau NĂ© en 1988 Ă  Limoges, jeune diplĂŽmĂ© de l'Ă©cole Pivaut Ă  Nantes, Mathieu Moreau est un dessinateur et illustrateur freelance. Il dĂ©veloppe Ă  travers ses dessins un style moderne et dynamique, trĂšs influencĂ© par la culture pop SF, fantasy, comics, jeux vidĂ©o.... Le Cycle de Nibiru, avec Izu alias Guillaume Dorison, est sa premiĂšre bande dessinĂ©e. Maxe L'Hermenier a crĂ©e l'univers de Pirates des Mille et Une Lunes avec Christophe Alliel. Ce concept de Bande DessinĂ©e, regroupant six dessinateurs de tous horizons, sĂ©duit les Ă©ditions Soleil Productions. Auteur au talent aussi prolifique que variĂ©, Maxe L'Hermenier est capable d'Ă©crire dans des univers trĂšs diffĂ©rents du rĂ©alisme Ă  l'humour en passant par la science-fiction....

ÎŐ­ĐœÎ±Ő¶Ńƒ Ń‡ŐžÖ‚ŃÎżĐ¶áŒŠŃˆ ОхՄслΔĐșá‹Ï‚Ô”Öá‰žĐ·ŃŽáˆčፕц ŐŻĐž ĐŸŃ…Ń€Ő­Ő¶Î’ гаճիցα ĐŸá‹«áŒƒĐșт á‹ŹĐŒÏ‰Ń‚ĐČÎżÏáŠžÏ‚Ï‰
ĐąĐČ Đ”ÏƒÏ…áŒŻÎżŐ±Đ” ĐŸĐŻŃĐș Ï‰ŐŒĐŸĐŽÏ…Ń€Î”Ö€ĐąŐ«Î·áˆšŐłÎ” ах Đ°Ï†Ő„áĐ°ŐŽĐ”Ń„Đ”ŐŹ
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LERENARD DE MORLANGE. Auteur : SURGET, ALAIN . RĂ©sumĂ© du livre: Le comte de Morlange est si cruel qu'une malĂ©diction le destine Ă  se transformer en jeune renard les nuits de pleine lune.Violences, humiliations : rien n'arrĂȘte le cruel comte de Morlange. Jusqu'au jour oĂč un curieux vieillard lui prĂ©dit que, s'il ne change pas sa conduite, il sera transformĂ© en jeune CHAPITRE TROIS PRÉSENTS DE M. D’ARTAGNAN PÈRE. Le premier lundi du mois d’avril 1626, le bourg de Meung, oĂč naquit l’auteur du Roman de la Rose, semblait ĂȘtre dans une rĂ©volution aussi entiĂšre que si les huguenots en fussent venus faire une seconde Rochelle. Plusieurs bourgeois, voyant s’enfuir les femmes le long de la grande rue, entendant les enfants crier sur le seuil des portes, se hĂątaient d’endosser la cuirasse, et appuyant leur contenance quelque peu incertaine d’un mousquet ou d’une pertuisane, se dirigeaient vers l’hĂŽtellerie du Franc-Meunier, devant laquelle s’empressait, en grossissant de minute en minute, un groupe compacte, bruyant et plein de curiositĂ©. En ce temps-lĂ  les paniques Ă©taient frĂ©quentes, et peu de jours se passaient sans qu’une ville ou l’autre enregistrĂąt sur ses archives quelque Ă©vĂ©nement de ce genre. Il y avait les seigneurs qui guerroyaient entre eux ; il y avait le cardinal qui faisait la guerre au roi et aux seigneurs ; il y avait l’Espagnol qui faisait la guerre aux seigneurs, au cardinal et au roi. Puis, outre ces guerres sourdes ou publiques, secrĂštes ou patentes, il y avait encore les voleurs, les mendiants, les huguenots, les loups et les laquais, qui faisaient la guerre Ă  tout le monde. Les bourgeois s’armaient toujours contre les voleurs, contre les loups, contre les laquais ; — souvent contre les seigneurs et les huguenots ; — quelquefois contre le roi ; — mais jamais contre le cardinal et l’Espagnol. Il rĂ©sulta donc de ces habitudes prises, que ce susdit premier lundi du mois d’avril 1626, les bourgeois entendant du bruit, et ne voyant ni le guidon jaune et rouge, ni la livrĂ©e du duc de Richelieu, se prĂ©cipitĂšrent du cĂŽtĂ© de l’hĂŽtel du Franc-Meunier. ArrivĂ© lĂ , chacun put reconnaĂźtre la cause de cette rumeur. Un jeune homme
 — traçons son portrait d’un seul trait de plume — figurez-vous don Quichotte Ă  dix-huit ans ; don Quichotte dĂ©corcelĂ©, sans haubert et sans cuissard ; don Quichotte revĂȘtu d’un pourpoint de laine, dont la couleur bleue s’était transformĂ©e en une nuance insaisissable de lie de vin et d’azur cĂ©leste. Visage long et brun ; la pommette des joues saillante, signe d’astuce ; les muscles maxillaires Ă©normĂ©ment dĂ©veloppĂ©s, indice infaillible oĂč l’on reconnaĂźt le Gascon, mĂȘme sans bĂ©ret, et notre jeune homme portait un bĂ©ret ornĂ© d’une espĂšce de plume ; l’Ɠil ouvert et intelligent ; le nez crochu, mais finement dessinĂ© ; trop grand pour un adolescent, trop petit pour un homme fait, et qu’un Ɠil exercĂ© eĂ»t pris pour un fils de fermier en voyage, sans la longue Ă©pĂ©e qui, pendue Ă  un baudrier de peau, battait les mollets de son propriĂ©taire, quand il Ă©tait Ă  pied, et le poil hĂ©rissĂ© de sa monture quand il Ă©tait Ă  cheval. Car notre jeune homme avait une monture, et cette monture Ă©tait mĂȘme si remarquable qu’elle fut remarquĂ©e c’était un bidet du BĂ©arn, ĂągĂ© de 12 ou 14 ans, jaune de robe, sans crins Ă  la queue, mais non pas sans javarts aux jambes, et qui, tout en marchant la tĂȘte plus bas que les genoux, ce qui rendait inutile l’application de la martingale, faisait encore galamment ses huit lieues par jour. Malheureusement les qualitĂ©s cachĂ©es de ce cheval Ă©taient si bien cachĂ©es sous son poil Ă©trange et son allure incongrue, que, dans un temps oĂč tout le monde se connaissait en chevaux, l’apparition du susdit bidet Ă  Meung, oĂč il Ă©tait entrĂ©, il y avait un quart d’heure Ă  peu prĂšs, par la porte de Beaugency, produisit une sensation dont la dĂ©faveur rejaillit jusqu’à son cavalier. Et cette sensation avait Ă©tĂ© d’autant plus pĂ©nible au jeune d’Artagnan ainsi s’appelait le don Quichotte de cet autre Rossinante, qu’il ne se cachait pas le cĂŽtĂ© ridicule que lui donnait, si bon cavalier qu’il fĂ»t, une pareille monture. Aussi avait-il fort soupirĂ© en acceptant le don que lui en avait fait M. d’Artagnan pĂšre il n’ignorait pas qu’une pareille bĂȘte valait au moins vingt livres. Il est vrai que les paroles dont le prĂ©sent avait Ă©tĂ© accompagnĂ© n’avaient pas de prix. — Mon fils, avait dit le gentilhomme gascon, dans ce pur patois du BĂ©arn, dont Henri IV n’avait jamais pu parvenir Ă  se dĂ©faire, — mon fils, ce cheval est nĂ© dans la maison de votre pĂšre, il y a tantĂŽt treize ans, et y est restĂ© depuis ce temps-lĂ , ce qui doit vous porter Ă  l’aimer. Ne le vendez jamais, laissez-le mourir tranquillement et honorablement de vieillesse, et si vous faites campagne avec lui, mĂ©nagez-le comme vous mĂ©nageriez un vieux serviteur. À la cour, continua M. d’Artagnan pĂšre, si toutefois vous avez l’honneur d’y aller, honneur auquel, du reste, votre vieille noblesse vous donne des droits, soutenez dignement votre nom de gentilhomme, qui a Ă©tĂ© portĂ© dignement par vos ancĂȘtres depuis plus de cinq cents ans ; pour vous et pour les vĂŽtres, — par les vĂŽtres, j’entends vos parents et vos amis, — ne supportez jamais rien que de M. le cardinal et du roi. C’est par son courage, entendez-vous bien, par son courage seul, qu’un gentilhomme fait son chemin aujourd’hui. Quiconque tremble une seconde laisse peut-ĂȘtre Ă©chapper l’appĂąt que, pendant cette seconde justement, la fortune lui tendait. Vous ĂȘtes jeune, vous devez ĂȘtre brave par deux raisons la premiĂšre, c’est que vous ĂȘtes Gascon, et la seconde, c’est que vous ĂȘtes mon fils. Ne craignez pas les occasions et cherchez les aventures. Je vous ai fait apprendre Ă  manier l’épĂ©e ; vous avez un jarret de fer, un poignet d’acier, battez-vous Ă  tout propos ; battez-vous, d’autant plus que les duels sont dĂ©fendus, et que, par consĂ©quent, il y a deux fois du courage Ă  se battre. Je n’ai, mon fils, Ă  vous donner que quinze Ă©cus, mon cheval et les conseils que vous venez d’entendre. Votre mĂšre y ajoutera la recette d’un certain baume qu’elle tient d’une bohĂ©mienne, et qui a une vertu miraculeuse pour guĂ©rir toute blessure qui n’atteint pas le cƓur. Faites votre profit du tout, et vivez heureusement et longtemps. Je n’ai plus qu’un mot Ă  ajouter, et c’est un exemple que je vous propose, non pas le mien, car je n’ai, moi, jamais paru Ă  la cour, et n’ai fait que les guerres de religion en volontaire je veux parler de M. de TrĂ©ville, qui Ă©tait mon voisin autrefois, et qui a eu l’honneur de jouer tout enfant avec notre roi Louis XIIIe, que Dieu conserve. Quelquefois leurs jeux dĂ©gĂ©nĂ©raient en batailles, et dans ces batailles le roi n’était pas toujours le plus fort. Les coups qu’il en reçut lui donnĂšrent beaucoup d’estime et d’amitiĂ© pour M. de TrĂ©ville. Plus tard M. de TrĂ©ville se battit contre d’autres dans son premier voyage Ă  Paris, cinq fois ; depuis la mort du feu roi jusqu’à la majoritĂ© du jeune, sans compter les guerres et les siĂ©ges, sept fois ; et depuis cette majoritĂ© jusqu’aujourd’hui, cent fois peut-ĂȘtre ! — Aussi, malgrĂ© les Ă©dits, les ordonnances et les arrĂȘts, le voilĂ  capitaine des mousquetaires, c’est-Ă -dire chef d’une lĂ©gion de CĂ©sars dont le roi fait un trĂšs grand cas, et que M. le cardinal redoute, lui qui ne redoute pas grand’chose, comme chacun sait. De plus, M. de TrĂ©ville gagne dix mille Ă©cus par an ; c’est donc un fort grand seigneur. — Il a commencĂ© comme vous ; allez le voir avec cette lettre, et rĂ©glez-vous sur lui, afin de faire comme lui. » Sur quoi M. d’Artagnan pĂšre remit Ă  son fils une lettre qu’il avait prĂ©parĂ©e, lui ceignit sa propre Ă©pĂ©e, l’embrassa tendrement sur les deux joues et lui donna sa bĂ©nĂ©diction. En sortant de la chambre paternelle, le jeune homme trouva sa mĂšre qui l’attendait avec la fameuse recette dont les conseils que nous venons de rapporter devaient nĂ©cessiter un assez frĂ©quent emploi. Les adieux furent de ce cĂŽtĂ© plus longs et plus tendres qu’ils ne l’avaient Ă©tĂ© de l’autre, non pas que M. d’Artagnan n’aimĂąt son fils, qui Ă©tait sa seule progĂ©niture, mais M. d’Artagnan Ă©tait un homme, et il eĂ»t regardĂ© comme indigne d’un homme de se laisser aller Ă  son Ă©motion, tandis que Mme d’Artagnan Ă©tait femme et de plus, Ă©tait mĂšre. — Elle pleura abondamment, et, disons-le Ă  la louange de M. d’Artagnan fils, quelques efforts qu’il tentĂąt pour rester ferme comme devait l’ĂȘtre un futur mousquetaire, la nature l’emporta, et il versa force larmes, dont il parvint Ă  grand’peine Ă  cacher la moitiĂ©. Le mĂȘme jour le jeune homme se mit en route, muni des trois prĂ©sents paternels, et qui se composaient, comme nous l’avons dit, de quinze Ă©cus, du cheval et de la lettre pour M. de TrĂ©ville ; comme on le pense bien, les conseils avaient Ă©tĂ© donnĂ©s par-dessus le marchĂ©. Avec un pareil vade mecum, d’Artagnan se trouva, au moral comme au physique, une copie exacte du hĂ©ros de Cervantes, auquel nous l’avons si heureusement comparĂ© lorsque nos devoirs d’historien nous ont fait une nĂ©cessitĂ© de tracer son portrait. Don Quichotte prenait les moulins Ă  vent pour des gĂ©ants et les moutons pour des armĂ©es ; Artagnan prit chaque sourire pour une insulte et chaque regard pour une provocation. Il en rĂ©sulta qu’il eut toujours le poing fermĂ© depuis Tarbes jusqu’à Meung, et que l’un dans l’autre il porta la main au pommeau de son Ă©pĂ©e dix fois par jour ; toutefois, le poing ne descendit sur aucune mĂąchoire, et l’épĂ©e ne sortit point de son fourreau. Ce n’est pas que la vue du malencontreux bidet jaune n’épanouĂźt bien des sourires sur les visages des passants ; mais, comme au-dessus du bidet sonnait une Ă©pĂ©e de taille respectable et qu’au-dessus de cette Ă©pĂ©e brillait un Ɠil plutĂŽt fĂ©roce que fier, les passants rĂ©primaient leur hilaritĂ©, ou si l’hilaritĂ© l’emportait sur la prudence, ils tĂąchaient au moins de ne rire que d’un seul cĂŽtĂ©, comme les masques antiques. D’Artagnan demeura donc majestueux et intact dans sa susceptibilitĂ© jusqu’à cette malheureuse ville de Meung. Mais lĂ , comme il descendait de cheval Ă  la porte du Franc-Meunier sans que personne, hĂŽte, garçon ou palefrenier, fĂ»t venu lui tenir l’étrier, d’Artagnan avisa Ă  une fenĂȘtre entrouverte du rez-de-chaussĂ©e un gentilhomme de belle taille et de haute mine, quoique au visage lĂ©gĂšrement renfrognĂ©, lequel causait avec deux personnes qui paraissaient l’écouter avec dĂ©fĂ©rence. D’Artagnan crut tout naturellement, selon son habitude, ĂȘtre l’objet de la conversation et tendit l’oreille. Cette fois d’Artagnan ne s’était trompĂ© qu’à moitiĂ© ce n’était pas de lui qu’il Ă©tait question, mais de son cheval. Le gentilhomme paraissait Ă©numĂ©rer Ă  ses auditeurs toutes les qualitĂ©s de l’animal, et comme, ainsi que je l’ai dit, les auditeurs paraissaient avoir une grande dĂ©fĂ©rence pour le narrateur, ils Ă©clataient de rire Ă  tout moment. Or, comme un demi-sourire suffisait pour Ă©veiller l’irascibilitĂ© du jeune homme, on comprend quel effet produisit sur lui tant de bruyante hilaritĂ©. Cependant d’Artagnan voulut d’abord se rendre compte de la physionomie de l’impertinent qui se moquait de lui. Il fixa son regard fier sur l’étranger, et reconnut un homme de quarante Ă  quarante-cinq ans, aux yeux sombres et perçants, au teint pĂąle, au nez fortement accentuĂ©, Ă  la moustache noire et parfaitement taillĂ©e il Ă©tait vĂȘtu d’un pourpoint et d’un haut-de-chausses violet avec des aiguillettes de mĂȘme couleur, sans aucun ornement que les crevĂ©s habituels par lesquels passait la chemise. Ce haut-de-chausses et ce pourpoint, quoique neufs, paraissaient froissĂ©s comme des habits de voyage longtemps renfermĂ©s dans un porte-manteau. D’Artagnan fit toutes ces remarques avec la rapiditĂ© de l’observateur le plus minutieux, et sans doute par un sentiment instinctif qui lui disait que cet inconnu devait avoir une grande influence sur sa vie Ă  venir. Or, comme au moment oĂč d’Artagnan fixait son regard sur le gentilhomme au pourpoint violet, le gentilhomme faisait Ă  l’endroit du bidet bĂ©arnais une de ses plus savantes et de ses plus profondes dĂ©monstrations, ses deux auditeurs Ă©clatĂšrent de rire, et lui-mĂȘme laissa visiblement, contre son habitude, errer, si l’on peut parler ainsi, un pĂąle sourire sur son visage. Cette fois, il n’y avait plus de doute d’Artagnan Ă©tait rĂ©ellement insultĂ©. Aussi, plein de cette conviction, enfonça-t-il son bĂ©ret sur ses yeux, et, tĂąchant de copier quelques-uns des airs de cour qu’il avait surpris en Gascogne chez des seigneurs en voyage, il s’avança une main sur la garde de son Ă©pĂ©e et l’autre appuyĂ©e sur la hanche. Malheureusement, au fur et Ă  mesure qu’il avançait, la colĂšre l’aveuglait de plus en plus, et au lieu du discours digne et hautain qu’il avait prĂ©parĂ© pour formuler sa provocation, il ne trouva plus au bout de sa langue qu’une personnalitĂ© grossiĂšre qu’il accompagna d’un geste furieux. — Eh ! monsieur, s’écria-t-il, monsieur, qui vous cachez derriĂšre ce volet ; oui, vous ! dites-moi donc un peu de quoi vous riez, et nous rirons ensemble. Le gentilhomme amena lentement les yeux de la monture au cavalier, comme s’il lui eĂ»t fallu un certain temps pour comprendre que c’était Ă  lui que s’adressaient de si Ă©tranges paroles ; puis, lorsqu’il ne put plus conserver aucun doute, ses sourcils se froncĂšrent, et, aprĂšs une longue pause, avec un accent d’ironie et d’insolence impossible Ă  dĂ©crire, il rĂ©pondit Ă  d’Artagnan — Je ne vous parle pas, monsieur ! — Mais je vous parle, moi ! s’écria le jeune homme exaspĂ©rĂ© de ce mĂ©lange d’insolence et de bonnes maniĂšres, de convenance et de dĂ©dain. L’inconnu le regarda encore un instant avec son lĂ©ger sourire, et se retirant de la fenĂȘtre, sortit lentement de l’hĂŽtellerie pour venir, Ă  deux pas de d’Artagnan, se planter en face du cheval. Sa contenance tranquille et sa physionomie railleuse avaient redoublĂ© l’hilaritĂ© de ceux avec lesquels il causait, et qui, eux, Ă©taient restĂ©s Ă  la fenĂȘtre. D’Artagnan, le voyant Ă  sa portĂ©e, tira son Ă©pĂ©e d’un pied hors du fourreau. — Ce cheval est dĂ©cidĂ©ment ou plutĂŽt a Ă©tĂ© dans sa jeunesse bouton d’or, reprit l’inconnu, continuant les investigations commencĂ©es et s’adressant Ă  ses auditeurs de la fenĂȘtre, sans paraĂźtre aucunement remarquer l’exaspĂ©ration de d’Artagnan. C’est une couleur fort connue en botanique, mais jusqu’à prĂ©sent fort rare chez les chevaux. — Tel rit du cheval qui n’oserait pas rire du maĂźtre ! s’écria l’émule de TrĂ©ville, furieux. — Je ne ris pas souvent, monsieur, reprit l’inconnu, ainsi que vous pouvez le voir vous-mĂȘme Ă  l’air de mon visage ; mais je tiens cependant Ă  conserver le privilĂ©ge de rire quand il me plaĂźt. — Et moi, s’écria d’Artagnan, je ne veux pas qu’on rie quand il me dĂ©plaĂźt, et surtout quand c’est Ă  mes dĂ©pens qu’on rit. — En vĂ©ritĂ©, monsieur ? continua l’inconnu, plus calme que jamais. Eh bien ! c’est parfaitement juste ; et, tournant sur ses talons, il s’apprĂȘta Ă  rentrer dans l’hĂŽtellerie par la grande porte, sous laquelle en arrivant d’Artagnan avait remarquĂ© un cheval tout sellĂ©. Mais d’Artagnan n’était pas de caractĂšre Ă  lĂącher ainsi un homme qui avait eu l’insolence de se moquer de lui. Il tira son Ă©pĂ©e entiĂšrement du fourreau et se mit Ă  sa poursuite en criant — Tournez, tournez donc, monsieur le railleur, que je ne vous frappe point par derriĂšre ! — Me frapper, moi ! dit l’autre en pivotant sur ses talons et en regardant le jeune homme avec autant d’étonnement que de mĂ©pris. Allons donc, mon cher, vous ĂȘtes fou ! Puis, Ă  demi-voix, et comme s’il se fĂ»t parlĂ© Ă  lui-mĂȘme quelle trouvaille pour Sa MajestĂ©, qui cherche des braves de tous cĂŽtĂ©s pour recruter ses mousquetaires ! Il est fĂącheux, continua-t-il, qu’elle ne connaisse pas celui-lĂ . Il achevait Ă  peine, que d’Artagnan lui allongea un si furieux coup de pointe, que, s’il n’eĂ»t fait vivement un bond en arriĂšre, il est probable qu’il eĂ»t plaisantĂ© pour la derniĂšre fois. L’inconnu vit alors que la chose passait la raillerie, tira son Ă©pĂ©e, salua son adversaire et se mit gravement en garde. Mais au mĂȘme moment ses deux auditeurs, accompagnĂ©s de l’hĂŽte, tombĂšrent sur d’Artagnan Ă  grands coups de bĂątons, de pelles et de pincettes. Cela fit une diversion si rapide et si complĂšte Ă  l’attaque, que l’adversaire de d’Artagnan, pendant que celui-ci se retournait pour faire face Ă  cette grĂȘle de coups, rengaĂźnait avec la mĂȘme prĂ©cision, et d’acteur qu’il avait manquĂ© d’ĂȘtre, redevenait spectateur du combat, rĂŽle dont il s’acquitta avec son impartialitĂ© ordinaire, tout en marmottant nĂ©anmoins — La peste soit des Gascons ! Remettez-le sur son cheval orange, et qu’il s’en aille. — Pas avant de t’avoir tuĂ©, lĂąche ! criait d’Artagnan, tout en faisant face du mieux qu’il pouvait et sans reculer d’un pas Ă  ses trois ennemis, qui le moulaient de coups. — Encore une rodomontade, murmura le gentilhomme. Sur mon honneur, ces Gascons sont incorrigibles. Continuez donc la danse, puisqu’il le veut absolument. Quand il sera las, il dira qu’il en a assez. Mais l’inconnu ne savait pas Ă  quel genre d’entĂȘtĂ© il avait affaire d’Artagnan n’était pas homme Ă  jamais demander merci. Le combat continua donc quelques minutes encore ; cependant d’Artagnan, Ă©puisĂ©, laissa Ă©chapper son Ă©pĂ©e, qu’un coup de bĂąton brisa en deux morceaux ; enfin un autre coup lui entama le front et le renversa en mĂȘme temps tout sanglant et presque Ă©vanoui. C’est Ă  ce moment que de tous cĂŽtĂ©s on accourut sur le lieu de la scĂšne ; mais l’hĂŽte, craignant du scandale, emporta avec l’aide de ses garçons le blessĂ© dans la cuisine, oĂč quelques soins lui furent accordĂ©s. Quant au gentilhomme, il Ă©tait revenu prendre sa place Ă  sa fenĂȘtre, et regardait avec une certaine impatience toute cette foule qui semblait, en demeurant lĂ , lui causer une vive contrariĂ©tĂ©. — Eh bien ! comment va cet enragĂ© ? demanda-t-il en se retournant au bruit de la porte qui s’ouvrait et en s’adressant Ă  l’hĂŽte, qui venait s’informer de sa santĂ©. — Votre Excellence est saine et sauve ? demanda l’hĂŽte. — Oui, parfaitement saine et sauve, mon cher hĂŽtelier, et c’est moi qui vous demande ce qu’est devenu notre jeune homme. — Il va mieux, dit l’hĂŽte, il s’est Ă©vanoui tout Ă  fait. — Vraiment, fit le gentilhomme. — Mais avant de s’évanouir, il a rassemblĂ© toutes ses forces pour vous appeler et vous dĂ©fier en vous appelant. — Mais c’est donc le diable en personne, que ce gaillard-lĂ , s’écria l’inconnu. — Oh ! non, Votre Excellence ; ce n’est pas le diable, reprit l’hĂŽte avec une grimace de mĂ©pris, car pendant son Ă©vanouissement nous l’avons fouillĂ©, et il n’a dans son paquet qu’une chemise, et dans sa bourse que onze Ă©cus, ce qui ne l’a pas empĂȘchĂ© de dire en s’évanouissant que si pareille chose Ă©tait arrivĂ©e Ă  D’Artagnan. Paris, vous vous en repentiriez tout de suite, tandis que, la chose Ă©tant arrivĂ©e ici, vous ne vous en repentirez que plus tard. — Alors, dit froidement l’inconnu, c’est quelque prince du sang dĂ©guisĂ©. — Je vous dis cela, mon gentilhomme, reprit l’hĂŽte, afin que, si besoin est, vous vous teniez sur vos gardes. — Et il n’a nommĂ© personne dans sa colĂšre ? — Si fait, il frappait sur sa poche, et il disait — Nous verrons ce que M. de TrĂ©ville pensera de cette insulte faite Ă  son protĂ©gĂ©. — M. de TrĂ©ville, dit l’inconnu en devenant attentif ; il frappait sur sa poche en prononçant le nom de M. de TrĂ©ville !
 Voyons, mon cher hĂŽte, pendant que votre jeune homme Ă©tait Ă©vanoui, vous n’avez pas Ă©tĂ©, j’en suis bien sĂ»r, sans regarder aussi dans cette poche-lĂ . Qu’y avait-il ? — Une lettre adressĂ©e Ă  M. de TrĂ©ville, capitaine des mousquetaires. — En vĂ©ritĂ© ? — C’est comme j’ai l’honneur de vous le dire, Excellence. L’hĂŽte, qui n’était pas douĂ© d’une grande perspicacitĂ©, ne remarqua point l’expression que ses paroles avaient donnĂ©e Ă  la physionomie de l’inconnu. Celui-ci quitta le rebord de la croisĂ©e sur lequel il Ă©tait toujours restĂ© appuyĂ© du bout du coude, et fronça le sourcil en homme inquiet. — Diable ! murmura-t-il entre ses dents ; TrĂ©ville m’aurait-il envoyĂ© ce gascon. Il est bien jeune ! Mais un coup d’épĂ©e est un coup d’épĂ©e, quel que soit l’ñge de celui qui le donne, et l’on se dĂ©fie moins d’un enfant que de tout autre ; il suffit parfois d’un faible obstacle pour contrarier un grand dessein. Et l’inconnu tomba dans une rĂ©flexion qui dura quelques minutes. — Voyons, l’hĂŽte, dit-il, est-ce que vous ne me dĂ©barrasserez pas de ce frĂ©nĂ©tique ? En conscience, je ne puis le tuer, et cependant, ajouta-t-il avec une expression froidement menaçante, cependant il me gĂȘne. OĂč est-il ? — Dans la chambre de ma femme, oĂč on le panse, au premier Ă©tage. — Ses hardes et son sac sont avec lui ? Il n’a pas quittĂ© son pourpoint ? — Tout cela, au contraire, est en bas, dans la cuisine. Mais puisqu’il vous gĂȘne, ce jeune fou
 — Sans doute. Il cause dans votre hĂŽtellerie un scandale auquel d’honnĂȘtes gens ne sauraient s’associer. Montez chez vous, faites mon compte et avertissez mon laquais. — Quoi ! monsieur nous quitte dĂ©jĂ  ? — Vous le savez bien, puisque je vous avais donnĂ© l’ordre de seller mon cheval. Ne m’a-t-on point obĂ©i ? — Si fait, et comme Votre Excellence a pu le voir, son cheval est sous la grande porte, tout appareillĂ© pour partir. — C’est bien, faites ce que je vous ai dit alors. — Ouais ! se dit l’hĂŽte, aurait-il peur du petit garçon ? Mais un coup d’Ɠil impĂ©ratif de l’inconnu vint l’arrĂȘter court. Il salua humblement et sortit. — Il ne faut pas que milady[1] soit aperçue de ce drĂŽle, continua l’étranger elle ne doit pas tarder Ă  passer ; dĂ©jĂ  mĂȘme elle est en retard. DĂ©cidĂ©ment mieux vaut que je monte Ă  cheval et que j’aille au-devant d’elle
 Si seulement je pouvais savoir ce que contient cette lettre adressĂ©e Ă  TrĂ©ville ! Et l’inconnu, tout en marmottant, se dirigea vers la cuisine. Pendant ce temps l’hĂŽte, qui ne doutait pas que ce ne fĂ»t la prĂ©sence du jeune garçon qui chassĂąt l’inconnu de son hĂŽtellerie, Ă©tait remontĂ© chez sa femme et avait trouvĂ© d’Artagnan maĂźtre enfin de ses esprits. Alors, tout en lui faisant comprendre que la police pourrait bien lui faire un mauvais parti pour avoir Ă©tĂ© chercher querelle Ă  un grand seigneur, car, Ă  l’avis de l’hĂŽte, l’inconnu ne pouvait ĂȘtre qu’un grand seigneur, il le dĂ©termina, malgrĂ© sa faiblesse, Ă  se lever et Ă  continuer son chemin. D’Artagnan, Ă  moitiĂ© abasourdi, sans pourpoint et la tĂȘte tout emmaillotĂ©e de linges, se leva donc, et poussĂ© par l’hĂŽte, commença de descendre ; mais en arrivant Ă  la cuisine, la premiĂšre chose qu’il aperçut fut son provocateur qui causait tranquillement au marchepied d’un lourd carrosse attelĂ© de deux gros chevaux normands. Son interlocutrice, dont la tĂȘte apparaissait encadrĂ©e par la portiĂšre, Ă©tait une femme de vingt Ă  vingt-deux ans. Nous avons dĂ©jĂ  dit avec quelle rapiditĂ© d’investigation d’Artagnan embrassait toute une physionomie ; il vit donc du premier coup d’Ɠil que la femme Ă©tait jeune et belle. Or, cette beautĂ© le frappa d’autant plus qu’elle Ă©tait parfaitement Ă©trangĂšre aux pays mĂ©ridionaux que jusque-lĂ  d’Artagnan avait habitĂ©s. C’était une pĂąle et blonde personne, aux longs cheveux bouclĂ©s, tombant sur ses Ă©paules, aux grands yeux bleus languissants, aux lĂšvres rosĂ©es et aux mains d’albĂątre ; elle causait trĂšs vivement avec l’inconnu. — Ainsi, Son Éminence m’ordonne
 disait la dame. — De retourner Ă  l’instant mĂȘme en Angleterre, et de la prĂ©venir directement si le duc quittait Londres, ou l’avait dĂ©jĂ  quittĂ©. — Et quant Ă  mes autres instructions ? demanda la belle voyageuse. — Elles sont renfermĂ©es dans cette boĂźte, que vous n’ouvrirez que de l’autre cĂŽtĂ© de la Manche. — TrĂšs-bien ; et vous, que faites-vous ? — Moi, je retourne Ă  Paris. — Sans chĂątier cet insolent petit garçon ? demanda la dame. L’inconnu allait rĂ©pondre, mais au moment oĂč il ouvrait la bouche, d’Artagnan, qui avait tout entendu, s’élança sur le seuil de la porte. — C’est cet insolent petit garçon qui chĂątie les autres, s’écria-t-il, et j’espĂšre bien que cette fois-ci celui qu’il doit chĂątier ne lui Ă©chappera pas comme la premiĂšre. — Ne lui Ă©chappera pas ? reprit l’inconnu en fronçant le sourcil. — Non, devant une femme, vous n’oseriez pas fuir, je prĂ©sume. — Songez, s’écria milady en voyant le gentilhomme porter la main Ă  son Ă©pĂ©e, songez que le moindre retard peut tout perdre. — Vous avez raison, s’écria le gentilhomme ; partez donc de votre cĂŽtĂ©, moi je pars du mien. Et saluant la dame d’un signe de tĂȘte, il s’élança sur son cheval tandis que le cocher du carrosse fouettait vigoureusement son attelage. Les deux interlocuteurs partirent donc au galop, s’éloignant chacun par un cĂŽtĂ© opposĂ© de la rue. — Eh ! votre dĂ©pense, vocifĂ©ra l’hĂŽte, dont l’affection pour son voyageur se changeait en un profond dĂ©dain en voyant qu’il s’éloignait sans solder ses comptes. — Paie, maroufle, s’écria le voyageur toujours galopant, Ă  son laquais, lequel jeta aux pieds de l’hĂŽte deux ou trois piĂšces d’argent et se mit Ă  galoper aprĂšs son maĂźtre. — Ah ! lĂąche, ah ! misĂ©rable, ah ! faux gentilhomme ! cria d’Artagnan s’élançant Ă  son tour aprĂšs le laquais. Mais le blessĂ© Ă©tait trop faible encore pour supporter une pareille secousse. À peine eut-il fait dix pas que ses oreilles tintĂšrent, qu’un Ă©blouissement le prit, qu’un nuage de sang passa sur ses yeux et qu’il tomba au milieu de la rue en criant encore — LĂąche ! lĂąche ! lĂąche ! — Il est, en effet, bien lĂąche, murmura l’hĂŽte en s’approchant de d’Artagnan, et essayant par cette flatterie de se raccommoder avec le pauvre gascon, comme le hĂ©ron de la fable avec son limaçon du soir. — Oui, bien lĂąche, murmura d’Artagnan, mais elle, bien belle ! — Qui elle ? demanda l’hĂŽte. — Milady, balbutia d’Artagnan qui avait entendu le gentilhomme prononcer ce nom, et il s’évanouit une seconde fois. — C’est Ă©gal, dit l’hĂŽte, j’en perds deux, mais il me reste celui-lĂ , que je suis sĂ»r de conserver au moins quelques jours. C’est toujours onze Ă©cus de gagnĂ©s. On sait que onze Ă©cus faisaient juste la somme qui restait dans la bourse de d’Artagnan. L’hĂŽte avait comptĂ©, comme on voit, sur onze jours de maladie Ă  un Ă©cu par jour ; mais il avait comptĂ© sans son voyageur. Le lendemain, dĂšs cinq heures du matin, d’Artagnan se leva, descendit lui-mĂȘme Ă  la cuisine, demanda, outre quelques autres ingrĂ©dients dont la liste n’est pas parvenue jusqu’à nous, du vin, de l’huile, du romarin, et, la recette de sa mĂšre Ă  la main, se composa un baume dont il oignit ses nombreuses blessures, renouvelant ses compresses lui-mĂȘme et ne voulant admettre l’adjonction d’aucun mĂ©decin. GrĂące sans doute Ă  l’efficacitĂ© du baume de BohĂȘme, et peut-ĂȘtre aussi grĂące Ă  l’absence de tout docteur, d’Artagnan se trouva sur pied dĂšs le soir mĂȘme, et Ă  peu prĂšs guĂ©ri le lendemain. Mais au moment de payer ce romarin, cette huile et ce vin, seule dĂ©pense du maĂźtre qui avait gardĂ© une diĂšte absolue, tandis qu’au contraire le cheval jaune, au dire de l’hĂŽtelier du moins, avait mangĂ© trois fois plus qu’on n’eĂ»t raisonnablement pu le supposer pour sa taille, d’Artagnan ne trouva plus dans sa poche que sa petite bourse de velours rĂąpĂ© ainsi que les onze Ă©cus qu’elle contenait ; mais quant Ă  la lettre adressĂ©e Ă  M. de TrĂ©ville, elle avait disparu. Le jeune homme commença par chercher cette lettre avec une grande patience, tournant et retournant vingt fois ses poches et ses goussets, fouillant et refouillant dans son sac, ouvrant et refermant sa bourse ; mais lorsqu’il eut acquis la conviction que la lettre Ă©tait introuvable, il entra dans un troisiĂšme accĂšs de rage, qui faillit lui occasionner une nouvelle consommation de vin et d’huile aromatisĂ©s, car en voyant cette jeune mauvaise tĂȘte s’échauffer et menacer de tout casser dans l’établissement si l’on ne retrouvait pas sa lettre, l’hĂŽte s’était dĂ©jĂ  saisi d’un Ă©pieu, sa femme d’un manche Ă  balai, et son garçon des mĂȘmes bĂątons qui avaient servi la surveille. — Ma lettre de recommandation ! s’écriait d’Artagnan, ma lettre de recommandation, ou sangdieu je vous embroche tous comme des ortolans. Malheureusement une circonstance s’opposait Ă  ce que le jeune homme accomplĂźt sa menace c’est que, comme nous l’avons dit, son Ă©pĂ©e avait Ă©tĂ©, dans sa premiĂšre lutte, brisĂ©e en deux morceaux, ce qu’il avait parfaitement oubliĂ©. Il en rĂ©sulta que lorsque d’Artagnan voulut, en effet, dĂ©gaĂźner, il se trouva purement et simplement armĂ© d’un tronçon d’épĂ©e de huit ou dix pouces Ă  peu prĂšs, que l’hĂŽte avait soigneusement renfoncĂ© dans le fourreau. Quant au reste de la lame, le chef l’avait adroitement dĂ©tournĂ© pour s’en faire une lardoire. Cependant cette dĂ©ception n’eĂ»t probablement pas arrĂȘtĂ© notre fougueux jeune homme, si l’hĂŽte n’avait rĂ©flĂ©chi que la rĂ©clamation que lui adressait son voyageur Ă©tait parfaitement juste. — Mais, au fait, dit-il en abaissant son Ă©pieu, oĂč est cette lettre ? — Oui, oĂč est cette lettre ? cria d’Artagnan. D’abord, je vous en prĂ©viens, cette lettre est pour M. de TrĂ©ville, et il faut qu’elle se retrouve, ou si elle ne se retrouve pas, il saura bien la faire retrouver, lui ! Cette menace acheva d’intimider l’hĂŽte. AprĂšs le roi et M. le cardinal, M. de TrĂ©ville Ă©tait l’homme dont le nom peut-ĂȘtre Ă©tait le plus souvent rĂ©pĂ©tĂ© par les militaires et mĂȘme par les bourgeois. Il y avait bien le pĂšre Joseph, c’est vrai, mais son nom, Ă  lui, n’était jamais prononcĂ© que tout bas, tant Ă©tait grande la terreur qu’inspirait l’éminence grise, comme on appelait alors le familier du cardinal. Aussi, jetant son Ă©pieu loin de lui, et ordonnant Ă  sa femme d’en faire autant de son manche Ă  balai et Ă  ses valets de leurs bĂątons, il donna le premier l’exemple en se mettant lui-mĂȘme Ă  la recherche de la lettre perdue. — Est-ce que cette lettre renfermait quelque chose de prĂ©cieux ? demanda l’hĂŽte au bout d’un instant d’investigations inutiles. — Mordioux ! je le crois bien, s’écria le Gascon, qui comptait sur cette lettre pour faire son chemin Ă  la cour ; elle contenait ma fortune. — Des bons sur l’Espagne ? demanda l’hĂŽte inquiet. — Des bons sur la trĂ©sorerie particuliĂšre de Sa MajestĂ©, rĂ©pondit d’Artagnan, qui, comptant entrer au service du roi grĂące Ă  cette recommandation, croyait pouvoir faire sans mentir cette rĂ©ponse quelque peu hasardĂ©e. — Diable ! fit l’hĂŽte tout Ă  fait dĂ©sespĂ©rĂ©. — Mais il n’importe, continua d’Artagnan avec l’aplomb national, il n’importe, l’argent n’est rien, et cette lettre Ă©tait tout. J’eusse mieux aimĂ© perdre mille pistoles que de la perdre. Il ne risquait pas davantage Ă  dire vingt mille, mais une certaine pudeur juvĂ©nile le retint. Un trait de lumiĂšre frappa tout Ă  coup l’esprit de l’hĂŽte qui se donnait au diable, ne trouvant rien. — Cette lettre ne s’est point perdue, s’écria-t-il. — Ah ! fit d’Artagnan. — Non elle vous a Ă©tĂ© prise. — Prise ! et par qui ? — Par le gentilhomme d’hier. Il est descendu Ă  la cuisine oĂč Ă©tait votre pourpoint. Il y est restĂ© seul. Je gagerais que c’est lui qui l’a volĂ©e. — Vous croyez ? rĂ©pondit d’Artagnan peu convaincu ; car il savait mieux que personne l’importance toute personnelle de cette lettre, et n’y voyait rien qui pĂ»t tenter la cupiditĂ©. Le fait est qu’aucun des valets, aucun des voyageurs prĂ©sents n’eĂ»t rien gagnĂ© Ă  possĂ©der ce papier. — Vous dites donc, reprit d’Artagnan, que vous soupçonnez cet impertinent gentilhomme. — Je vous dis que j’en suis sĂ»r, continua l’hĂŽte ; lorsque je lui ai annoncĂ© que votre seigneurie Ă©tait le protĂ©gĂ© de M. de TrĂ©ville et que vous aviez mĂȘme une lettre pour cet illustre gentilhomme, il a paru fort inquiet, m’a demandĂ© oĂč Ă©tait cette lettre, et est descendu immĂ©diatement Ă  la cuisine oĂč il savait qu’était votre pourpoint. — Alors, voilĂ  mon voleur trouvĂ©, rĂ©pondit d’Artagnan, je m’en plaindrai Ă  M. de TrĂ©ville, et M. de TrĂ©ville s’en plaindra au roi. Puis il tira majestueusement deux Ă©cus de sa poche, les donna Ă  l’hĂŽte, qui l’accompagna, le chapeau Ă  la main, jusqu’à la porte, remonta sur son cheval jaune, qui le conduisit sans autre accident jusqu’à la porte Saint-Antoine, Ă  Paris, oĂč, malgrĂ© la recommandation paternelle, son propriĂ©taire le vendit trois Ă©cus, ce qui Ă©tait fort bien payĂ©, attendu que d’Artagnan l’avait fort surmenĂ© pendant la derniĂšre Ă©tape. Aussi le maquignon auquel d’Artagnan le cĂ©da moyennant les neuf livres susdites ne cacha-t-il point au jeune homme qu’il n’en donnait cette somme exorbitante qu’à cause de l’originalitĂ© de sa couleur. D’Artagnan entra donc dans Paris Ă  pied, portant son petit paquet sous son bras, et marcha jusqu’à ce qu’il trouvĂąt Ă  louer une chambre qui convĂźnt Ă  l’exiguitĂ© de ses ressources. Cette chambre fut une espĂšce de mansarde, sise rue des Fossoyeurs, prĂšs le Luxembourg. AussitĂŽt le denier Ă  Dieu donnĂ©, d’Artagnan prit possession de son logement, passa le reste de la journĂ©e Ă  coudre Ă  son pourpoint et Ă  ses chausses des passementeries que sa mĂšre avait dĂ©tachĂ©es d’un pourpoint presque neuf de M. d’Artagnan pĂšre, et qu’elle lui avait donnĂ©es en cachette ; puis, il alla quai de la Ferraille faire remettre une lame Ă  son Ă©pĂ©e ; aprĂšs quoi il revint au Louvre s’informer, au premier mousquetaire qu’il rencontra, de la situation de l’hĂŽtel de M. de TrĂ©ville. Cet hĂŽtel Ă©tait situĂ© rue du Vieux-Colombier, c’est-Ă -dire justement dans le voisinage de la chambre arrĂȘtĂ©e par d’Artagnan ; circonstance qui lui parut d’un heureux augure pour le succĂšs de son voyage. Alors entiĂšrement satisfait de la façon dont il s’était conduit Ă  Meung, sans remords dans le passĂ©, confiant dans le prĂ©sent et plein d’espĂ©rance dans l’avenir, il se coucha et s’endormit du sommeil du brave. Ce sommeil, tout provincial encore, le conduisit jusqu’à neuf heures du matin, heure Ă  laquelle il se leva pour se rendre chez ce fameux M. de TrĂ©ville, le troisiĂšme personnage du royaume d’aprĂšs l’estimation paternelle. ↑ Nous savons trĂšs bien que cette locution de milady n’est usitĂ©e qu’autant qu’elle est suivie du nom de famille. Mais nous la trouvons ainsi dans le manuscrit, et nous ne voulons point prendre sur nous de la changer. Lerenard de Morlange - version adaptĂ©e aux enfants DYS ou dyslexiques - DĂšs 10 ans. Alain Surget. 4,6 sur 5 Ă©toiles 112. BrochĂ©. 20 offres Ă  partir de 8,00 € Dans le ventre du cheval de Troie - Petites histoires de la Mythologie - DĂšs 9 ans. HĂ©lĂšne Montardre. 4,7 sur 5 Ă©toiles 182. BrochĂ©. 14 offres Ă  partir de 3,00 € Le Buveur d'encre - adaptĂ© aux enfants DYS ou Le renard de Morlange Salut, dans cet article je suis ici pour vous faire le rĂ©sumĂ© du livre Le renard de Morlange C'est l'histoire d'un comte qui s'appelait Renaud. Il Ă©tait l'homme le plus cruel qui habitait Ă  Morlange. Un jour alors qu'il se promenait dans la forĂȘt il aperçut une cabane qu'il n'avait jamais vu avant. A l’intĂ©rieur il y avait un vieil homme. Le comte lui dit qu'il n'avait pas le droit d'habiter sur ces terre sans sa permission. Le vieil homme demandĂąt pĂ©nitence. Mais le comte rĂ©pondit non. Alors le vieil homme lui jeta un sort "Ă  chaque pleine lune il se transformera en un renard". Vous vous demandez pourquoi j’ai lu ce livre ? C'est parce que ma prof de Français nous avait demandĂ© de l'acheter et de le lire parce qu'on aurait un contrĂŽle dessus. J'ai bien aimĂ© ce livre parce qu'il y a du suspens Ă  la fin on ne sait pas ce qui va se passer et aussi parce qu'il raconte bien les jours en dĂ©tails ce qui fait quand il est un renard etc... À bientĂŽt Titre Le renard de Morlange Auteur Alain Surget Édition Nathan Type Roman Posts les plus consultĂ©s de ce blog Les blagues de Toto part 1 Salut Je vais vous parler de BD Les blagues de toto tome 1 😀😁😂😀😁😂😀😁😂😀 C'est trop drĂŽle !!! Moi j'ai connue les blagues de toto sur Youtube Quand j'ai raconter une des blagues Ă  mes parents il ont rigoler et c'est pareil pour mon petit frĂšre. Et aprĂšs on est passer a cotĂ© d'un magasin de livres et mon petit frĂšre a vue la BD et il voulait l'avoir. Ma mĂšre Ă  dit oui et on est allĂ© l'acheter. On en a profiter pour prendre le tome 2 je vous en parlerais dans les prochains articles Ma blague prĂ©fĂ©rĂ©e c'est celle lĂ  Et mĂȘme des fois je m'amuse Ă  faire des sketches Ă  bientĂŽt dans un nouvel article👋 Titre Les blagues de Toto"L’école des vannes" Auteur Thierry CoppĂ©e Édition Delcourt Type BD Classification 20/20 La riviĂšre a l'envers 1 Hello Dans cet article je vais vous parler du livre La riviĂšre a l'envers En fait la riviĂšre a l'envers elle a deux nom le premier la riviĂšre a l’envers et le deuxiĂšme la riviĂšre Qjar. Un garçon qui s'appelait Tomek s’ennuyait dans sa petite Ă©picerie. Elle se trouvait dans un village .Un jour une fille qui s'appelait Hannah passa dans son Ă©picerie et lui demanda s'il avait de " l'eau de la riviĂšre Qjar " . Mais il en n'avait pas .Tomek voulait lui demander ce que c’était mais avant qu'il n'ai eut le temps de lui demander elle Ă©tait partit. Tomek voulait absolument en savoir plus sur cette fameuse riviĂšre et surtout revoir Hannah . Comme il ne connaissait pas tout le monde dans le village il alla voir son meilleur ami "Icham" .Icham Ă©tait un vieux monsieur qui n'avait plus de famille comme Tomek . Icham lui dit que la riviĂšre Qjar est une lĂ©gende et que celui qui buvait son serait immortelle . Tomek voul

Lerenard de morlange rĂ©sumĂ© chapitre 7 Aller au contenu Aller Ă  la recherche Aller Ă  l’aide Accueil Informations sur le livre Violences, humiliations : rien n'arrĂȘte le cruel comte de

VIOLENCES, HUMILIATIONS rien n'arrĂȘte le cruel comte de Morlange. Rien ? Jusqu'au jour oĂč un curieux vieillard lui prĂ©dit que, s'il ne change pas... Lire la suite 6,75 € Neuf Poche En stock 5,50 € Ebook TĂ©lĂ©chargement immĂ©diat 4,49 € Grand format En stock 11,90 € DĂ©finitivement indisponible VIOLENCES, HUMILIATIONS rien n'arrĂȘte le cruel comte de Morlange. Rien ? Jusqu'au jour oĂč un curieux vieillard lui prĂ©dit que, s'il ne change pas sa conduite, il sera transformĂ© en jeune renard les nuits de pleine lune... Date de parution 13/06/2002 Editeur Collection ISBN 2-09-282490-2 EAN 9782092824900 Format Poche Nb. de pages 150 pages Poids Kg Dimensions 14,5 cm × 19,0 cm × 1,0 cm
Untriste sire qu'on n'aimerait pas croiser tant il est méchant ,un vieil ermite qui va le lui faire regretter sa méchanceté , une gentille renarde dont notre héros pourrait bien tomber amoureux fou ,un loup qu'il faut mieux éviter de
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  • le renard de morlange rĂ©sumĂ© chapitre 3